Quels sont les trois points communs entre ces trois romans? Vous donnez votre langue au chat? Oui ?…
Et bien, voici les trois points communs que je noterai dans mon parcours de lecture :
– l’auteur : Gilles LEGARDINIER. C’est bien lui l’auteur des 3 livres. Il a écrit bien d’autres romans, bien sûr… Mais ceux-là sont ceux que j’ai découverts : un thriller et deux romans « comédies » sympathiques.
– le chat (présent dans les 3 livres. Pour Nous étions des hommes, c’est Nelson, le chat qui vit dans l’appartement de Jenni, la généticienne.
– le message final, qui m’émeut à chaque fois et qui me présente Gilles LEGARDINIER comme un homme de cœur. De tous les messages de fin de livre que j’ai lus, ce sont les siens qui retiennent mon attention. Pourquoi, me demandez-cous? Parce que… nous, les lecteurs et lectrices, appartenons, à part entière, semble-t-il, à son monde… Il ne nous oublie pas!
Les romans de Gilles LEGARDINIER ne sont pas, selon moi, de grandes œuvres littéraires mais des histoires agréables qu’on aime découvrir. On a plaisir à se plonger dedans parce qu’on ne réfléchit plus. On se laisse emportés par l’humour et la générosité des personnages.
Dans le thriller Nous étions des hommes, ce fut un peu différent. Le monde scientifique prédomine. Le sujet est plus grave. Voici une nouvelle facette de l’écrivain.
A découvrir, à méditer, côté lecteurs… A poursuivre, à creuser, côté auteur.
Mon évaluation : ♥ ♥ ♥
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