Bilan d’août 2015 : Un coup de cœur et de belles lectures !

Si j’ai eu besoin d’une petite pause lecture début août et si j’ai traversé une petite passe à vide, j’ai aussi fait de belles découvertes durant ce deuxième mois d’été.

Dans le domaine des romances, des sociétés et des autres :

C’est le genre littéraire qui m’a le plus intéressé. J’ai eu besoin de renouer avec la réalité et notre société, d’où ces lectures…

J’ai eu un coup de cœur pour Le vide de nos cœurs  qui traînait depuis quelques semaines dans ma pile de livres à lire. Même si le sujet est délicat et plutôt terrible, je trouve que Jasmine WARGA a très bien traité son sujet. Il n’y a pas de sentimentalisme larmoyant. J’ai beaucoup aimé les personnages et le déroulement de l’histoire. Je suis très heureuse de cette sélection et de cette lecture.

J’ai poursuivi mon cheminement dans notre vie et j’ai pris un réel plaisir à découvrir la condition des femmes afghanes avec La perle et la coquille de Nadia Hashimi qui nous offre un joli conte des temps modernes. Les deux principales femmes sont attachantes. Leur lutte est joliment racontée et on est, inévitablement, touchés par cette quête de liberté et d’autonomie et ce combat de tous les jours. C’est un nouveau coup de cœur pour moi et ce roman. J’ai adoré renouer avec ces femmes d’un autre pays avec des droits moindres et des coutumes très contraignantes. 

J’ai découvert un nouveau roman d’Elin HILDERBRAND, Un si beau jour. J’ai aimé ce roman parce qu’il décrit toujours posément et judicieusement les relations aux autres. Je ne me lasse pas de cette auteure. J’aime beaucoup son écriture et la trame de ses histoires. Je suivrai attentivement ses futures parutions.

Dans le domaine du fantastique et des dystopies :

J’ai commencé le mois d’août avec le Puits des mémoires de Gabriel KATZ que j’ai abandonné au trois quarts du livre. Je ne peux pas dire que ce livre n’est pas bien mais il n’a pas été conforme à mes attentes. J’attendais plus de rythme, plus de noirceurs aussi. Je me suis trouvée plonger dans un joli monde dont les trois personnages se seraient bien contentés. Je suis la principale personne à remettre en cause car l’écriture de cette dystopie est correcte et en adéquation avec le résumé que j’avais envisagé plus noir.