Le résumé des éditions POCKET – 04 juin 2015 :
Une vaste fresque épistolaire couvrant deux continents et deux guerres mondiales, qui invite au voyage et célèbre le pouvoir des mots.
1912.
Sur la petite île de Skye au large de l’Écosse, la poétesse Elspeth Dunn reçoit la lettre d’un admirateur, David Graham, un étudiant américain. Au fil de leur correspondance, sans jamais s’être rencontrés, les deux jeunes gens se lient d’une intense amitié, qui ne demande qu’à devenir amour…
1940. À Edimbourg, alors que la guerre fait rage, Margaret découvre dans la maison familiale une pile de courrier adressé à une certaine Sue. Le lendemain, après une sombre dispute, sa mère disparaît. Avec pour seul indice une lettre écrite en 1915, Margaret va tenter de la retrouver et lever le voile sur les mystères qui entourent sa vie.
J’ai fait des pieds et des mains pour trouver ce roman et pour l’avoir sous les yeux. Je le voyais partout… Je le désirais : je l’ai. Je l’ai lu.
Ce roman est une suite d’échanges. Les lettres se succèdent entre Sue, la poétesse, et Davey, un jeune américain intrépide. De prime abord, admirative, la correspondance devient intime jusqu’à se transformer en missives amoureuses et passionnées. La première guerre mondiale gronde. Les deux amants sont éloignés alors que le conflit s’intensifie.
J’ai vibré pour ces deux personnages singuliers qu’un océan séparait. J’étais curieuse de cette relation et surtout de leur rencontre et du lien qu’ils allaient tisser. L’histoire de David Graham et d’Elspeth Dunn est inattendue et charmante. Les échanges de lettres sont fluides. L’intensité monte au fil de leur amour.
En parallèle, au début de la seconde guerre mondiale, Margaret, la fille de Sue/Elspeth, entreprend une correspondance avec Paul. Elle lui fait part de son attrait mais aussi du changement d’état de sa mère. C’est à travers ce deuxième lot d’échanges que le premier prend toute son ampleur et sa force.
Les récits sont bien construits. Je comprends l’engouement des lecteurs/lectrices pour ce roman. La couverture que j’ai est à l’image des mots : mélancoliques, poétiques, remplis d’espoirs et d’amours. Le livre est court, intense plus on avance vers le dénouement. La fin est belle. Les lettres deviennent plus brèves, plus urgentes, créant l’impatience et le trouble chez le lecteur/ la lectrice (que je suis).
Je ne suis pas habituée à ce genre : les relations épistolaires. Celle-ci fut une agréable expérience. C’est un beau roman.
Mon évaluation : ♥ ♥ ♥ 1/2 ♥
Je l’avais adoré à sa sortie ! Un magnifique roman !
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Oui, joli, doux… Romantique. ❤️
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