Et si… je poursuivais le bonheur ? Mes attentes de lecture.

la poursuite du bonheur

Quelles que soient  les couvertures des éditions lues, on retrouve un côté rétro : une femme d’un autre temps avec une coiffure et un habillement d’après guerre.

Je connais Douglas KENNEDY pour avoir lu plusieurs livres : L’homme qui voulait vivre sa vie, Piège nuptial, cet instant-là, Les désarrois de Ned Allen… Je les dévorais comme des petits pains croustillants et j’adorais. Puis, la folie livresque s’est éteinte…

Il y a huit ans, une amie m’avait prêté La poursuite du bonheur. Je n’avais pas franchi le premier chapitre. Aujourd’hui, je retente l’expérience avec une autre maturité et un regard nouveau.

Ce que je pense de la couverture : Elle ne m’attire pas plus que ça. Elle est sombre. Cette femme ne m’inspire qu’un vague passé… On se croirait dans un tableau d’Andy WARHOL, les couleurs criardes en moins. La référence choisie par l’éditeur est les Etats Unis des années 1950.

Le titre est plus propice à mes anticipations. Lorsque l’auteur a choisi le nom POURSUITE, qu’entendait-il ? Induisait-il une rupture : passer d’une situation malaisée au bonheur ? Ou… une continuité dans la vie paisible et charmante? Connaissant la plume de Douglas KENNEDY, j’opterai pour la rupture. Il est le maître de la situation insoluble de déchéance… Tous ses héros sombrent dans les ténèbres avant de trouver le chemin de la résurrection sociale ! Cet auteur maîtrise l’art de créer des ambiances et des contextes précis et largement documentés. Il développe sans peine des milieux divers comme la finance, la photographie, une micro société dans le Bush australien…

Je vais ouvrir le livre et me replonger dans son univers avec ces deux phrases en tête, l’histoire de me mettre l’eau à la bouche :

« Une fresque romanesque à dévorer. » Olivia de Lamberterie – ELLE.

« Une pure réussite, un délectable moment de lecture, une héroïne inoubliable. » Pascale Frey – Lire.

Résumé de l’éditeur : 

Le lendemain des obsèques de sa mère, Kate Malone reçoit l’appel d’une certaine Sara Smythe, qui dit être une amie de ses parents. Face au scepticisme de Kate, elle lui confie un manuscrit. L’histoire de plusieurs vies entremêlées un demi-siècle auparavant.

1945. L’Amérique se remet de la guerre. Mais, très vite, les heures noires du maccarthysme résonnent, avec leur cohorte de trahisons et de lâchetés conformistes. Et dans la tourmente, l’histoire des Malone s’écrit.

Une réflexion sur « Et si… je poursuivais le bonheur ? Mes attentes de lecture. »

  1. Moi aussi j’ai eu ma période Douglas Kennedy pendant laquelle je les dévorais tous! La poursuite du bonheur est un peu différent de ses autres romans pour moi mais il reste mon préféré et de loin donc j’espère que tu apprécieras 🙂

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